La Géorgie adopte les amendements en matière de droit de la parole
Le parti géorgien des rêves géorgien de Géorgie a adopté à l’unanimité les modifications à la loi sur la liberté d’expression et d’expression lors de la première lecture. Une disposition indique que le délai de prescription de 100 jours pour le dépôt de réclamations de diffamation s’appliquera rétroactivement aux déclarations faites avant que la loi ne prenne effet.
En outre, le projet de loi restreint considérablement la liberté d’expression en transférant la charge de la preuve dans les cas de diffamation sur le défendeur et en supprimant plusieurs protections juridiques précédemment accordées aux journalistes et à d’autres personnes.
Les modifications révisent également la définition de la diffamation pour signifier une déclaration qui contient un fait substantiellement faux et endommage la réputation d’une personne.
En vertu de la version actuelle de la loi, la diffamation est définie comme une déclaration qui contient un fait substantiellement faux, causant des dommages à une personne et endommage sa réputation.
La nouvelle loi s’appliquera aux insultes personnelles et publiques.
Réaction occidentale aux arrestations en Géorgie: « Nous devons agir pour empêcher le deuxième Bélarus au Caucase »
«La persécution politique et l’emprisonnement des dirigeants de l’opposition sont contraires à des valeurs démocratiques fondamentales»
Davit Matikashvili, Georgian Dream MP:
«Après des consultations avec le sous-orateur Tea Tsukiani et d’autres collègues, nous avons convenu qu’il serait approprié d’inclure une disposition de transition dans la législation. La loi stipule qu’une personne a le droit de déposer une réclamation en diffamation dans les 100 jours à compter de la date à laquelle les fausses informations ont été disséminées, ou de la date à laquelle le demandeur a pris conscience. Les limitations n’ont pas expiré.
Par exemple, si la loi entre en vigueur le 1er août, la période de limitation de 100 jours s’appliquera toujours aux déclarations faites avant cette date. Si quelqu’un croit qu’une déclaration faite le 1er juillet est diffamatoire ou préjudiciable à son honneur et à sa dignité, et qu’aucune poursuite n’a été déposée précédemment, il sera en mesure de déposer la réclamation après l’entrée en vigueur de la loi en vertu des nouveaux termes. En conséquence, le fardeau de la preuve résidera avec la personne qui a diffusé les informations, pas le demandeur. »
Les rêves géorgiens prévoient des amendements à la liberté du droit de la parole
Les sanctions pour diffamation seront resserrées et les journalistes perdront des mécanismes de protection juridique
La Géorgie adopte les amendements en matière de droit de la parole