Résolution du Parlement européen sur les médias géorgiens
Le Parlement européen adopte la résolution: «La liberté des médias en Géorgie, en particulier le cas de Mzia Amaghlobeli» – 324 députés votaient en faveur, 25 contre, et 87 s’abstenant.
La résolution appelle le gouvernement géorgien à libérer tous les prisonniers politiques et les individus illégalement détenus et à abroger toutes les lois répressives.
Il condamne également l’arrestation à motivation politique du journaliste Mzia Amaghlobeli et exhorte les autorités à la libérer immédiatement et à abandonner toutes les accusations.
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Selon la résolution, le Parlement européen:
- Condamne fortement Les attaques systématiques du rêve géorgien contre les institutions démocratiques, l’opposition politique, les médias indépendants, la société civile et l’indépendance du pouvoir judiciaire;
- Exprime une profonde préoccupation au cours des détentions arbitraires, du harcèlement et de la violence contre les journalistes, notamment des campagnes de frottis, de l’intimidation juridique, des mauvais traitements en détention et de la violence basée sur le genre; exige une enquête indépendante et exhorte les autorités à cesser immédiatement l’intimidation et à assurer la sécurité et la liberté des journalistes;
- Appelle aux autorités géorgiennes pour libérer immédiatement tous les prisonniers politiques et autres individus détenus arbitrairement, notamment le compagnon activiste Dvalidze, les chefs d’opposition Zurab Japaridze, Nika Melia et Nika Gvaramia, ainsi que l’ancien président Mikheil Saakashvili; condamne également la violente abduction du mari de la présidente de l’UNM Tina Bokuchava et des menaces signalées contre ses enfants;
- Entraves l’abrogation immédiate de toutes les législations répressives, la restauration de la démocratie et le plein respect de la liberté des médias et des libertés civiles;
- Appelle à l’UE pour renforcer le soutien aux médias indépendants et à la société civile après la loi FARA entre en vigueur et à surveiller les affaires judiciaires en cours;
- Regrets L’inaction continue du Conseil, des États membres et de la commission, et réitère son appel aux États membres à imposer des sanctions bilatérales aux dirigeants et aux hauts fonctionnaires du rêve géorgien responsable du recul démocratique;
- Exercer des voix Au cours de la dernière vague d’attaques contre les ONG, avec certains organismes gouvernementaux – tels que le Bureau anti-corruption – exigeant des dossiers financiers, juridiques et opérationnels détaillés des 18 derniers mois dans les trois jours ouvrables; Souligne que cette demande n’est pas réaliste et risque de mettre fin au travail des organisations ciblées.
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