Troit en justice contre les agents étrangers
Mikheil KavelashvilMoi, le président géorgien nommé par le parti au pouvoir (et dont la légitimité n’est pas reconnue par l’opposition et la société civile) a retiré le procès constitutionnel déposé par l’ancien président Salome Zourabichvili exigeant l’abrogation de la loi des «agents étrangers» («sur la transparence de l’influence étrangère»).
- La Cour constitutionnelle géorgienne commence à examen des poursuites remettant en question la loi des «agents étrangers»
- 130+ ONG géorgiennes et médias pour contester le droit des «agents étrangers» à Strasbourg Court
«La loi géorgienne« sur la transparence de l’influence étrangère »est basée sur les principes de transparence et de responsabilité, qui aident à maintenir le principe principal de l’État géorgien – la souveraineté nationale et le développement stable du pays.
La loi vise à s’assurer que le public est pleinement informé des sources de financement des organisations représentant les intérêts des puissances étrangères. En conséquence, le président Mikheil Kavelashvili a décidé de retirer le procès constitutionnel,»Lire la déclaration du bureau de presse de Kavelashvili.
La Cour constitutionnelle de la Géorgie accepte les poursuites contre les « agents étrangers » mais ne le suspende pas
Le président, l’opposition, les ONG et les médias qui ont déposé des poursuites affirment que la loi viole la Constitution
Plus tôt, le 9 octobre 2024, la Cour constitutionnelle a accepté de considérer des parties des poursuites constitutionnelles contre la loi des «agents étrangers», bien qu’elle ait rejeté la demande des plaignants de suspendre l’application de la loi jusqu’à ce qu’une décision finale soit rendue.